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D’un côté, les applications de rencontre permettent de multiplier les possibilités en sortant de nos cercles sociaux de base, de développer un sentiment d’appartenance à des communautés spécifiques et de bonifier le sentiment d’empowerment face au dating. De l’autre côté de la médaille, les applications de rencontre peuvent malheureusement ouvrir la porte à la prolifération de la violence en ligne, au ghosting, à la fétichisation ou encore, à exacerber la fameuse angoisse du choix (trop c’est comme pas assez, tsé!).

L’événement Confessions nocturnes se veut un safer space de discussion et d'exploration sur les splendeurs et les misères des applications de dating. Pour ce faire, la journaliste et chroniqueuse Laïma A. Gérald (Club Sexu, URBANIA, ELLE Qubec) s’entoure de trois invité·e·s aux champs d’expertises diversifiés afin de mieux saisir les enjeux créés par ces univers virtuels sous algorithmes.

Finalement (et non la moindre), l’humoriste Erika Suarez nous parlera de son rapport avec les applications de rencontre, tout en franchise, transparence… et peut-être même avec too much information. Celle qui a rencontré son partenaire sur une applications de rencontre considère que les plateformes sont de riches outils d’empowerment quand vient le temps de dater pour une femme ou une personne de la diversité sexuelle. 

La soirée Confessions nocturnes, qui approfondit quelques-uns des thèmes phares de l’exposition Sexe, désirs et data, sera agrémentée de plusieurs témoignages intimes. Tendez l’oreille.