Fondation

Isabella Astolfi est une photographe d’origine argentine de 22 ans basée à Montréal, Québec. Elle a complété un baccalauréat en beaux-arts en photographie à l’Université Concordia en avril 2023. Son travail s’articule autour des thèmes de l’appartenance, de la familiarité et de l’image de soi.

Le travail photographique actuel d’Astolfi se concentre principalement sur des personnes et des lieux spécifiques avec lesquels elle a une affinité forte et personnelle et qui lui ont permis de refléter au mieux sa personnalité. Le travail d’Isabella est composé de paysages et de portraits qui démontrent cette documentation personnelle, principalement produite à travers un mélange de photographie numérique et analogique.

Astolfi partage également une passion pour la photographie documentaire, qui consiste principalement à photographier des paysages et environnements de banlieue. Elle aime documenter les matériaux mis au rebut et l’architecture qui suivent un modèle spécifique en matière de couleur et d’espace minimaliste. Isabella entend volontairement garder son travail aussi subtil que possible, en utilisant de manière prédominante le noir et blanc ainsi qu’en travaillant avec une gamme de couleurs douces.

Le travail d’Isabella Astolfi à ce jour, oscille entre ces deux sujets et elle poursuivra un Master en gestion artistique et culturelle à l’École EAC de Paris, en France, à partir de septembre 2024.

La pratique artistique de Long Bui (iel/il) s’étend de la photographie à la poésie en passant par le design graphique. Son œuvre explore l’identité du point de vue de la non-conformité de genre et de la pleine conscience bouddhiste. Iel comprend que le changement est la seule véritable certitude et tente par sa pratique de faire face à la nature de l’impermanence – ou vô thường –, tout en explorant sa propre place et celle des autres au sein d’un collectif diasporique.

Lola Cera regroupe une série de céramiques utilitaires dont le design et la production sont réalisés par l’artiste montréalaise Camille Zurini. La petite entreprise voit le jour en septembre 2016, mais c’est bien avant cette date que Zurini conçoit sa première tasse vache. Elle doit rapidement la reproduire en petite quantité pour répondre à la demande suite à tous les commentaires positifs reçus en autres sur Instagram. Bien que l’entreprise produise aussi des bols, des assiettes et des commandes spéciales, la tasse vache et l’aimant reprenant le concept sont étroitement associés à l’image de Lola Cera.

Victor est un artiste et designer qui explore différents médiums; dans sa pratique artistique, il se concentre particulièrement sur la céramique, le verre et le métal. Son travail explore des thèmes tels que l’anthropomorphisme, la mignonnerie en tant que forme de résistance, et le biomorphisme. Ses pièces se caractérisent par une esthétique ludique et imaginative ainsi qu’une touche d’humour subtile et distincte, des composantes intrinsèques de son identité et expression artistique.

Club Ami est un club social du bas de la Côte-des-Neiges, ouvert à tout·e·s.

Nous fabriquons des tee-shirts teints à la main, chacun PAR TOUTE LA COMMUNAUTÉ.

Michael Eddy est un artiste et écrivain montréalais travaillant avec divers médias, notamment le dessin, le texte, la vidéo, la sculpture, la performance et l’installation. Ses œuvres varient considérablement en apparence mais s’articulent autour de contextes historiques et politiques spécifiques, allant des discours sur la liberté d’expression à la normativité des médias de masse, en passant par la déformation de la subjectivité autour des changements technologiques. Eddy a étudié les beaux-arts à Francfort et à Halifax et a exposé et publié partout au Canada et à l’étranger.

Yael Ezerzer est une artiste basée à Tiohtià:ke/Montréal. Son travail intègre l’utilisation d’images, de vidéos, de sculptures et de textes. Inspirée par les moments du quotidien, Yael s’engage principalement avec des matériaux organiques et des objets courants. Enracinée dans des actes de soin, son travail s’efforce d’inspirer l’introspection et la connectivité universelle. À travers sa fascination pour la lumière et la temporalité, son travail vise à transmettre un sentiment d’espoir. Ezerzer a récemment complété un baccalauréat en photographie à l’Université Concordia (2023) et a exposé son travail à Montréal, notamment Eastern Bloc (2020), la Galerie POPOP (2020) et la Maison de la Culture Janine Sutto (2023).

Lauren Francescone est une artiste américaine qui vit à Montréal depuis 2021. Ses œuvres en céramique sont conçues pour remettre en question leur propre utilité et explorer la beauté, la sensualité et la décoration. Les principes de l'architecture et du design fournissent un cadre à sa démarche. Elle publie et conçoit Températures, une publication occasionnelle sur les artistes travaillant l’argile.

Ibrahim Mahmoud est un·e artiste travaillant l’image situé·e à Tiohtià:ke/Montréal. Sa pratique artistique comprend la photographie, la vidéo et l’installation qui reflètent une philosophie personnelle de la création artistique inspirée par les méandres et la contemplation. Le travail de Mahmoud s’appuie sur des compositions d’images et d’autres composantes formelles, tels que des sons ou des écrits, pour réfléchir à la manière dont le récit et l'imagerie s'influencent mutuellement.

Son travail aborde les thèmes de l’identité culturelle et d’une recherche d’un sentiment d’appartenance inspiré par l’expérience d’immigration de ses parents et par la notion de communauté.

Tyra Maria Trono est une artiste et travailleuse culturelle philippine basée à Tiohtià:ke/Montréal. Son travail artistique se concentre sur l’exploration d’expériences et de récits incarnés, les reliant souvent à des artefacts culturellement significatifs dans des contextes géographiques spécifiques. Elle approfondit les questions entourant la formation de la perception d'une personne au cours du processus d’identification culturelle et la manière dont l’appartenance à une communauté diasporique modifie cette trajectoire. Trono utilise la recherche archivistique et les histoires orales pour mettre en évidence l’impact durable de la narration. Elle poursuit actuellement une maîtrise en beaux-arts à l’Université Concordia et a reçu le prix Lande et la bourse Roloff Beny en photographie.

Mathis Martel est un artiste multidisciplinaire émergent de Montréal. Il a étudié au Cégep du Vieux Montréal en arts visuels et étudie actuellement à l’Université Concordia en arts plastiques. Sa pratique artistique polyvalente transcende les limites de la peinture, s'étendant également à la sculpture et à l'installation.

S’inspirant du «hard edge» et de l’expressionnisme abstrait, ses peintures minimalistes marient une précision géométrique à une liberté expressive. Parallèlement, sa pratique en sculpture et en installation se distingue par une approche de type «ready-made», tirant inspiration des objets souvent industriels et du quotidien.

Precious Puppies est un projet de séries animées et d’articles artisanaux créés par Lenore Claire Herrem. La première saison «Book Club Mystery» a été produite en 2021, et «Donnies» est actuellement en production. Des vêtements peints à la main, des autocollants, des zines, des aimants, des porte-clés, des bougies, des foulards et de nombreux autres produits seront disponibles, auxquels s'ajouteront des calendriers et des cartes de vœux pour la période des Fêtes.

Assiyah Jamilla Touré est un·e artiste multidisciplinaire d’origine ouest-africaine. Iel est né·e et a grandi sur les terres Skwxwú7mesh et sont maintenant basés sur le territoire Kanien’kehà:ka. Iel réalise des œuvres d’art uniques et des objets éphémères, ainsi que des tirages et des affiches d’œuvres multimédia.

Fiona Vail (elle/iel) est étudiante de premier cycle en histoire de l’art et en études classiques. Sa pratique artistique se concentre en grande partie sur l’illustration multimédia, qu’elle utilise pour créer des pièces narratives qui rassemblent des histoires personnelles, des réceptions classiques et folkloriques et la création de liens de parenté multi-espèces.

Artiste illustratrice et peintre canadienne d’origine haïtienne, Wendy-Alexina Vancol explore en profondeur les notions d’héritage, de diaspora, de mémoire et d’identité. Elle se libère des représentations communes des corps noirs dans des espaces blancs, mettant l’accent sur la marginalisation, la pression sociale et les préjugés. À travers son œuvre, elle permet à ces corps d’occuper l’espace de manière non conventionnelle.

Titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Concordia, Vancol expose ses œuvres dans des expositions collectives et les voit publiées à travers le Québec. Elle a été récompensée du concours du Prix des beaux-arts de l’AUCU (2021) et elle est finaliste du prix BMO First Art (2021). Elle vient de conclure avec succès sa première exposition solo à la Maison de la culture de Notre-Dame de Grâce à Montréal (2022), dont l’une des œuvres exposées a été acquise par la Collection municipale d’œuvres d’art de la ville de Montréal (2023).