Gratuit
Centre
Myriade chromatique
15 août → 31 juillet
Le Centre PHI abrite une installation lumineuse à contenu évolutif, s'adaptant au fil des saisons et des expositions
Fondation PHI
451, rue Saint-Jean
Montréal, Québec H2Y 2R5
Salle G0 (sous-sol)
Du 10 au 16 décembre 2024
Du samedi au mardi: 11h à 18h
Mercredi et jeudi: 12h à 19h
Vendredi: 12h à 18h
Entrée gratuite
Le marché des Fêtes est une foire unique qui met en lumière les talents artistiques des employé·e·s de la Fondation PHI ainsi que d’invité·e·s spéciaux·ciales. L’occasion parfaite pour dénicher des cadeaux!
Dans ce marché, vous trouverez des créations locales (affiches, bijoux, photographies, céramiques, tirages, sculptures, publications, peintures, etc). Tous les profits iront directement aux artistes afin d’encourager l’économie culturelle montréalaise.
Informations pratiques
• Modes de paiement: argent comptant et virement Interac uniquement
• Merci de prévoir un sac réutilisable.
• Impossible de venir sur place? Pas de problème! Contactez-nous pour entrer en relation avec les vendeur·euse·s: [email protected] ou appelez le 514 849-3742.
Mika Benesh
Long Bui
Victor Chose
Yael Ezerzer
Lauren Francescone
Jon Knowles
Manifold Object Text (MOT)
MERCVRIA
Projet commun
Annika Tajchakavit-Azar
Assiyah Jamilla Touré
Tyra Maria Trono
Fiona Vail
Wendy-Alexina Vancol
Dan Yang
Mika Benesh est un designer travaillant entre Tiohtià:ke (Montréal) et Gadigal Land (Sydney). Il crée des chaînes, des breloques et des bagues, avec un intérêt particulier pour les amulettes protectrices. En plus de concevoir des bijoux, Mika écrit, dessine et produit des tirages. Il poursuit actuellement une maîtrise en études juives à l’Université Concordia.
La pratique artistique de Long Bui (iel/il) s’étend de la photographie à la poésie en passant par le design graphique. Son œuvre explore l’identité du point de vue de la non-conformité de genre et de la pleine conscience bouddhiste. Iel comprend que le changement est la seule véritable certitude et tente par sa pratique de faire face à la nature de l’impermanence – ou vô thường –, tout en explorant sa propre place et celle des autres au sein d’un collectif diasporique.
Victor est un artiste et designer qui explore différents médiums; dans sa pratique artistique, il se concentre particulièrement sur la céramique, le verre et le métal. Son travail explore des thèmes tels que l’anthropomorphisme, la mignonnerie en tant que forme de résistance et le biomorphisme. Ses pièces se caractérisent par une esthétique ludique et imaginative ainsi qu’une touche d’humour subtile et distincte, des composantes intrinsèques de son identité et expression artistique.
Yael Ezerzer est une artiste basée à Tiohtià:ke/Montréal qui explore les images et les relations entre les cycles, les processus et le temporel. Travaillant principalement avec la photographie, la vidéo et l'installation, elle aborde des thèmes liés au déroulement continu, influencés par la lumière et l’ordinaire. Elle a récemment obtenu un baccalauréat en beaux-arts en photographie à l’Université Concordia (2023) et a présenté son travail dans divers lieux à Montréal, notamment Eastern Bloc (2020), la Maison de la Culture Janine Sutto (2023) et le Festival Regard (2024).
Lauren Francescone est une artiste américaine qui vit à Montréal depuis 2021. Ses œuvres en verre et en céramique sont conçues pour remettre en question leur propre utilité et explorer la beauté, la sensualité et la décoration. Les principes de l’architecture et du design servent de cadre à son approche. Elle publie et conçoit Temperatures, une publication occasionnelle sur les artistes travaillant l’argile.
Jon Knowles est un artiste et un travailleur culturel. Il est né à Oshawa, en Ontario. Il vit à Montréal et est gérant d'expositions à la Fondation PHI depuis 2016.
Manifold Object Text (MOT) propose une sélection soignée d’objets et de livres d’occasion uniques. Choisis par Tennyson Graham et Nicolas Castonguay, les objets et livres sélectionnés reflètent leurs domaines d’intérêt respectifs.
Basée au Chili, Mercvria est une agence de communication visuelle dédiée au développement de la pensée collective autour de causes communes. Son projet principal est la revue murale éponyme, qui mêle les langages et met l’accent sur les idées politiques et spirituelles. Mercvria conçoit des campagnes, des publications et des collaborations avec des artistes, en investissant principalement l’espace public.
Projet commun
Projet commun est un organisme culturel à but non lucratif qui développe des propositions artistiques et des expositions à partir d’une approche collaborative expérimentale. Il réunit en effet des artistes, des commissaires et des publics pour former des cohortes qui expérimentent le travail collaboratif dans la réflexion, la création, la production et la diffusion de contenus. Des partenariats sont aussi créés avec des espaces de diffusion afin de présenter les projets communs et de poursuivre les échanges et le partage d’idées avec un public élargi ainsi qu’avec les autres protagonistes de l’écosystème muséal, artistique et culturel.
Charlotte Guirestante Ghomeshi
Charlotte Ghomeshi est une artiste visuelle qui vit et travaille entre Montréal et Saint-Sauveur. Par la photographie et la vidéo, elle puise dans ses souvenirs et ceux de ses proches pour tisser des récits qui explorent diverses questions existentielles et ineffables. Ses projets mêlent des thèmes liés à la sphère intime, aux relations familiales et aux liens plus larges de l’humain envers la nature et la mort. Depuis cet automne, elle poursuit une maîtrise en photographie à l’Université Concordia. Ses œuvres ont été présentées dans des expositions individuelles, notamment à Caravansérail (Rimouski) et Parc Offsite (Montréal) en collaboration avec Projet commun, ainsi que dans plusieurs expositions collectives. Charlotte est également fondatrice et commissaire du projet Tabloïde.
Orise Jacques-Durocher
Orise Jacques-Durocher est une artiste qui vit et travaille à Montréal où elle a obtenu un baccalauréat en Beaux-arts de l'Université Concordia (2020). Par la sculpture et l’installation, sa pratique expérimentale de la céramique investigue et réimagine notre compréhension de l’objet. Une approche allégorique, près de la fable, est souvent au centre des mises en scène qu’elle propose et lui permet d’aborder ses réflexions critiques et poétiques avec un subtil sourire en coin. Son travail a été présenté dans des expositions collectives et individuelles au Québec, au Nouveau-Brunswick, ainsi qu’au Danemark, lors d’une résidence au Guldagergaard International Ceramic Research Center.
Sarah Turcotte
Détentrice d’un baccalauréat en linguistique et d’une maîtrise en muséologie, Sarah Turcotte achève un doctorat en muséologie, médiation, patrimoine à l’Université du Québec à Montréal qui porte sur l’articulation du rôle politico-économique des grands musées d’art avec leurs missions scientifique, pédagogique et sociale. Ses analyses ont notamment été publiées dans la Revue animation, territoires et pratiques socioculturelles et dans Digital studies/Le champ numérique. Elle a communiqué ses travaux lors de colloques nationaux comme l’Acfas et internationaux avec l’Université technique de Crète en Grèce et l’Université Iberoamericana à Mexico. La qualité de ses recherches lui a permis, entre autres, d’être finaliste pour le Prix Roland-Arpin, de remporter la bourse Marcel-Masse et d’être appuyée par les Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC). Parallèlement à son doctorat, Sarah a fondé l’organisme Projet commun afin d’expérimenter le développement collaboratif des arts et de la culture. Les propositions curatoriales développées au sein de son organisme ont été exposées à l’espace Produit Rien, à la galerie Parc Offsite/Eli Kerr et à la Foire Plural. Grâce à ses initiatives, Sarah a remporté le Prix Relève 2024 de la Société des musées du Québec (SMQ). Elle a également d’autres contributions professionnelles, dont des textes publiés dans la revue Vie des arts, dans un catalogue d’exposition du Centre d’art Dazibao et sur le blogue de la Fondation PHI où elle a travaillé pendant plus de trois ans.
Annika Tajchakavit-Azar a grandi à Saint-Hilaire et habite désormais à Montréal. Elle a complété son BFA en histoire de l’art et arts plastique à l’université Concordia. Son travail s’inspire entres autres de la nature, les souvenirs, la nourriture et son expérience en tant que femme mixte asiatique et arabe. Elle pratique la photographie, les arts d’impression, et le dessin. Le processus créatif de Tajchakavit-Azar est en constante évolution, mais est tout d’abord fondé sur l’observation de son environnement. Son travail a été exposé au centre EXPRESSION de Saint-Hyacinthe (2021), dans la 6e édition de Culture graphique (2024) et à la boutique de Fais-moi l’art (2024).
Assiyah Jamilla Touré est un·e artiste multidisciplinaire d’origine ouest-africaine. Iel est né·e et a grandi sur les terres Skwxwú7mesh et sont maintenant basés sur le territoire Kanien’kehà:ka. Iel réalise des œuvres d’art uniques et des objets éphémères, ainsi que des tirages et des affiches d’œuvres multimédia.
Tyra Maria Trono est une artiste philippine, travailleuse culturelle et commissaire indépendante basée à Tiohtià:ke/Montréal. Elle poursuit actuellement une maîtrise en beaux-arts, option arts en studio et photographie, à l’Université Concordia. Elle est lauréate du prix Lande en photographie et de la bourse Roloff Beny en photographie de 2023. Son travail artistique se concentre sur l’exploration des expériences et récits incarnés, les reliant souvent à des artefacts culturellement significatifs dans des contextes géographiques spécifiques. Elle s’intéresse aux questions entourant la formation de la perception lors du processus d’identification culturelle et à la manière dont l’appartenance à une communauté diasporique modifie cette trajectoire. Trono utilise la recherche archivistique et les histoires orales pour mettre en lumière l’impact durable de la narration.
Fiona Vail (elle/iel), colon·e né·e sur le territoire non cédé de Mi’kmaq, est un·e chercheur·e et artiste en devenir, résidant aujourd’hui à Tiohtià:ke (Montréal). Fiona a récemment obtenu avec honneurs un baccalauréat en histoire de l’art de l’Université McGill. Ses travaux de recherche portaient sur les naturecultures, les relationalités multi-espèces, ainsi que la colonialité du langage dans l’art contemporain. Dans le cadre de sa pratique personnelle, Fiona utilise les techniques mixtes afin d’explorer l’animalité, le genre et les intersections entre les mythologies «classiques» et personnelles.
Wendy-Alexina Vancol est une illustratrice et peintre canado-haïtienne basée dans sa ville natale de Tiohtià:ke/Montréal. Son travail remet en question les représentations stéréotypées des corps noirs dans des espaces majoritairement blancs. À travers des images surréalistes et des palettes de couleurs dynamiques, elle met en avant son identité noire et explore des thèmes tels que l’inclusivité, les relations familiales, la marginalisation, la pression sociale et les préjugés.
Vancol est la récipiendaire du prix des beaux-arts de la CUAA (2021), a présenté une exposition solo à la Maison de la culture de NDG à Montréal (2022-2023), fait partie de la collection Art Volt de l’Université Concordia (2024) et a effectué une résidence de six mois à la Galerie Jano Lapin (2024). Elle a participé à la création d’une œuvre collective pour Loto-Québec, exposée à la Place-des-Arts à Montréal (2024). Vancol a obtenu son baccalauréat en beaux-arts en arts en studio de l’Université Concordia (2021). Elle a récemment présenté des œuvres dans le cadre de la 7e édition du festival artch (2024).
Dan Yang (elle/iel) est une artiste multidisciplinaire basée à Montréal. Les domaines de pratique de Dan couvrent la céramique, l’impression 3D et l’installation sculpturale. Son travail explore l’interaction complexe entre l’abjection, l’altérité et l’étrangeté en utilisant les technologies numériques et l’impression 3D récentes. Lors du marché des Fêtes à la Fondation PHI, Dan présentera ses récentes œuvres, notamment des têtes d’anime en porcelaine, des bijoux imprimés en 3D et des porte-bougies.
Gratuit
Centre
Le Centre PHI abrite une installation lumineuse à contenu évolutif, s'adaptant au fil des saisons et des expositions
Hors murs
Présentée au Vieux-Port, l'expérience immersive L’Horizon de Khéops est une expédition en réalité virtuelle à la découverte de l'Égypte ancienne
Gratuit
Centre
Un rendez-vous mensuel de la performance où l’art prend vie
Centre
Une exposition immersive qui vous encourage à explorer les frontières de l'intelligence artificielle (IA) à travers deux expériences uniques et captivantes
À la Place des Arts
Hors murs
Un livre animé qui mise sur les dernières percées de la réalité augmentée pour vous transporter au cœur d’un conte intemporel
Gratuit
Fondation
La Fondation PHI pour l’art contemporain est fière de présenter Oma-je, la plus grande exposition en Amérique du Nord de l’artiste française de renom Laure Prouvost
Gratuit
Fondation
La Fondation PHI est heureuse de présenter Espaces de résonance, un projet d’engagement public de l’artiste My-Van Dam
Gratuit
Fondation
Notre équipe de coordonnateur·trice·s de l’expérience des visiteur·euse·s offre des visites guidées en français et en anglais de l’exposition Laure Prouvost: Oma-je durant nos heures d’ouverture