Gratuit
Centre
Myriade chromatique
15 août → 31 juillet
Le Centre PHI abrite une installation lumineuse à contenu évolutif, s'adaptant au fil des saisons et des expositions
Fondation PHI
451, rue Saint-Jean
Montréal, Québec H2Y 2R5
Mercredi au dimanche:
de 11h à 18h
Entrée libre
Sonny Assu, Phil Collins, Dora Garcia, Simryn Gill, Felix Gonzalez-Torres, Emily Jacir, Sergej Jensen, Mike Kelley, Lee Mingwei
À l’occasion des célébrations de son 10e anniversaire, DHC/ART Fondation pour l’art contemporain est heureuse de présenter L’OFFRE.
Que recèle le cadeau, au juste? Par cette pratique séculaire de l’échange, nous sommes confrontés à une gamme d’émotions et de questions qui se complexifient sous l’influence du système dominant de l’économie de marché. N’est-ce vraiment que l’intention qui compte? La personne qui donne est assaillie par une multitude de questions, notamment: qu’est-ce qu’un cadeau approprié, qu’est-ce qu’un cadeau excessif ou insuffisant, et qu’est-ce qui serait utile au destinataire? Ce dernier peut quant à lui éprouver un certain malaise causé par un sentiment de dette ou d’obligation de rendre la pareille. Mais donner peut également susciter une forme d’altruisme et de joie, de même que l’acceptation affable et chaleureuse du cadeau, qui fait également partie de l’interaction. L’échange de cadeaux tisse des liens entre les personnes, tandis que les cadeaux eux-mêmes ou, plus précisément, leur esprit, continuent de circuler.
L’exposition propose une série d’œuvres qui s’intéressent au concept complexe de don et aux notions qui lui sont associées telles que l’échange, la réciprocité, la valeur, l’effort, la trace, le rituel, la gratitude, l’altruisme, l’obligation, la générosité et l’attachement. Elle comprend des peintures, des photographies, des vidéos, des sculptures et même du chant.
Silenced, the Burning (2011), de Sonny Assu, évoque la cérémonie du potlatch, une composante essentielle de l’identité et des pratiques culturelles des Kwakwaka’wakw, qui a été interdite par le gouvernement canadien de 1884 à 1951. Cette cérémonie a été citée par des sociologues réputés, tel Marcel Mauss, comme un important exemple d’échange réciproque visant la redistribution de la richesse. Pour son installation Free fotolab (2009), Phil Collins a invité le public à lui envoyer des rouleaux de film 35 mm non traités, leur offrant de les développer gratuitement en échange du droit universel sur les images de son choix, qu’il a ensuite utilisées dans son travail. Steal this book (2009), de Dora Garcia, consiste en une centaine de copies d’un livre qui documente onze de ses projets de performance récents. Présenté dans les expositions en tant que sculpture susceptible d’être pillée, Steal this book se vend également en librairie un peu partout dans le monde. Pour son projet Pearls (1999–en cours), Simryn Gill demande à ses amis intimes de lui donner leur livre favori. Elle en extrait ensuite les pages et confectionne des perles à partir de celles-ci pour en faire un collier qu’elle rend par la suite à ses donateurs. L’exposition présente la toute dernière œuvre de cette série, réalisée pour l’artiste et professeure montréalaise Erin Manning. L’installation Denied Entry (a concert in Jerusalem) (2003), d’Emily Jacir, propose la reprise d’un concert complet des musiciens Marwan Abado, Peter Rosmanith et Franz Hautzinger, qui devait avoir lieu lors d’un festival à Jérusalem, mais qui a dû être annulé lorsqu’Abado s’est vu refuser l’entrée à Tel-Aviv. L’œuvre est à la fois un don et un rappel de la perte et de l’exil de ceux qui ont été privés du spectacle prévu. Sergej Jensen utilise de vieux sacs d’argent comme surface picturale, tout en intégrant leurs inscriptions dans ses œuvres. Les quatre tableaux présentés dans l’exposition mettent l’accent sur le concept du don de l’artiste et de la confusion qu’il sème dans le marché de l’art. L’œuvre peu connue de Mike Kelley, Love, Theft, Gifting and More Love (2009), consiste en une installation d’objets qui traitent de l’appropriation d’un dessin créé par l’artiste pour le livre de poésie d’un ami. Ce qui, au départ, était un cadeau a fait l’objet d’une appropriation sans le consentement de Kelly, pour lui revenir ensuite sous la forme d’un authentique geste d’amour. Lee Mingwei, qui s’intéresse particulièrement aux relations et aux interactions humaines, présente deux œuvres dans l’exposition: la série photographique Money for Art (1994-2010) qui représente des objets ayant servi de base à un échange particulier entre l’artiste et des étrangers rencontrés dans un café; et Sonic Blossom, dans laquelle Mingwei utilise la musique, plus précisément les lieder de Schubert, comme don transformateur. Pendant la durée de l’exposition à DHC/ART, un chanteur arpentera les salles, les samedis et dimanches, à la recherche de visiteurs disposés à recevoir le don de la musique. Les pièces “Untitled” (Ischia) (1993), “Untitled” (NRA) (1991) et “Untitled” (Blue Placebo) (1991), de Felix Gonzalez-Torres, sont quant à elles disséminées dans l’exposition. Évoquant le corps et sa lente désintégration, ces œuvres constituées de piles de papier, de friandises emballées dans du papier Cellophane bleu et d’ampoules génèrent également de délicates situations d’échanges.
Dans le fameux livre The Gift (1983), dont cette exposition tire son cadre théorique, Lewis Hyde étudie en profondeur la notion de don qui, lorsqu’il se traduit dans une œuvre d’art, peut servir d’«agent de transformation». C’est à ce moment que le don de l’artiste se manifeste, et c’est dans cet esprit que s’inscrit L’OFFRE.
Lee Mingwei
Sonic Blossom
2013 – en cours
Performance chaque samedi et dimanche
entre 11h et 18h
Présentée en collaboration avec le Département de musique de l’Université de Concordia
Performeurs: Samantha Borgal, Camille Brault, Sophie De Cruz, Irene Feher, Alice Newman-Gougeon, Brittany Rae, Feng Xiong
Remerciements: Irene Feher, professeure à temps partiel, Département de musique de l’Université Concordia, et Mark Corwin, doyen, Département de musique de l’Université Concordia, Geneviève Jalbert, accompagnatrice
Sonny Assu a grandi en banlieue de Vancouver, à quelque 250 km de l’île de Vancouver où il est né. À l’âge de huit ans, il apprend qu’il est de descendance kwakwaka’wakw, découverte qui marquera profondément son œuvre singulière. Artiste multidisciplinaire maîtrisant tant la peinture, la sculpture et la photographie que les arts numériques et imprimés, il relate l’histoire de sa famille et le quotidien des Autochtones du Canada par une démarche de négociation des principes artistiques occidentaux et kwakwaka’wakw dont lui seul a le secret. Sonny Assu a obtenu son baccalauréat en beaux-arts de l’Université Emily Carr en 2002 et a reçu le prix du diplômé émérite du même établissement en 2006, puis le prix BC Creative Achievement pour l’art autochtone en 2011. Il a aussi été trois fois en nomination au prix Sobey pour les arts. En 2017, il a terminé sa maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia et figurait parmi les lauréats des prix REVEAL en art autochtone. On retrouve ses œuvres au Musée national des beaux-arts du Canada, au Seattle Art Museum, à la Galerie d’art de Vancouver, au Musée d’anthropologie de l’Université de la Colombie-Britannique, au Burke Museum de l’Université de Washington, à la Galerie d’art du Grand Victoria, dans les bureaux d’Hydro-Québec et de Loto-Québec et dans plusieurs autres lieux publics et collections privées du Canada, des États-Unis et du Royaume-Uni.
Depuis la fin des années 1990, l’artiste multidisciplinaire Phil Collins s’évertue à mettre en lumière et en image notre rapport à la culture. Son approche intimiste l’a mené à la rencontre de danseurs de disco palestiniens, d’amateurs du groupe The Smiths sur trois continents, de réfugiés kosovars d’origine albanaise, de jeunes de Baghdad, de skinheads antifascistes de Malaisie et d’enseignants de marxisme-léninisme de l’ancienne République démocratique allemande. L’artiste a multiplié les expositions solos partout dans le monde : Metropolitan Museum of Art, New York (2016); Museum of Contemporary Art, Chicago (2016); Carpenter Center for the Visual Arts, Cambridge (2016); Gallery of Modern Art, Glasgow (2015); Hebbel am Ufer, Berlin (2014); Museum Ludwig, Cologne (2013); British Film Institute, Londres (2011); Tramway, Glasgow (2009); Aspen Art Museum, Colorado (2008); Dallas Museum of Art, Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, et Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa (2007); San Francisco Museum of Modern Art et Tate Britain, Londres (2006); et Wexner Center for the Arts, Columbus (2005). Phil Collins réside actuellement à Cologne, où il enseigne l’art vidéo à la Kunsthochschule für Medien, et à Berlin.
Née à Valladolid en 1965, Dora García a étudié les beaux-arts à l’Université de Salamanque, en Espagne, puis à la Rijksakademie d’Amsterdam, aux Pays-Bas. Aujourd’hui établie à Barcelone, elle utilise l’espace d’exposition comme une plateforme pour étudier la relation entre le visiteur, l’œuvre et le lieu. Pour ce faire, l’artiste mise souvent sur l’interactivité et la performance. Sans trop intervenir, elle transforme la pièce en une expérience sensorielle qui vient modifier la perception des visiteurs, ou du moins, éveiller leur scepticisme, car les signes qui leur semblaient jusque-là anodins deviennent soudainement porteurs de sens. Représentante de l’Espagne à l’occasion de la 54e Biennale de Venise en 2011, elle a participé à plusieurs expositions de premier plan: Power Plant Contemporary Art Gallery, Toronto (2015); Punkt Ø, Moss, Norvège (2015); Centre des arts visuels, Montréal (2014); dOCUMENTA (13), Cassel, Allemagne (2012); FRAC Île-de-France, Paris (2011); Biennale de Gwangju, Corée (2010 et 2016); Biennale de Lyon (2009); TATE Modern, Londres (2008); Centre Pompidou, Paris (2008); MUDAM, Luxembourg (2008); SMAK, Gand (2006); MUSAC, Léon (2004); et MACBA, Barcelone (2002).
Simryn Gill est née à Singapour en 1959, a grandi en Malaisie et a été formée en Inde et au Royaume-Uni. Artiste accomplie, elle maîtrise la sculpture, la photographie, le dessin et l’écriture et collectionne religieusement une foule d’objets, en particulier les livres qui sont à la fois source d’adoration et de discorde. Dans plusieurs de ses créations, elle gomme ou retire les caractères de textes canoniques dans une sorte de combat microcosmique contre l’autorité. Simryn Gill compte plusieurs expositions solos à son actif, notamment: Galeri Petronas, Kuala Lumpur (2001); Art Gallery of New South Wales, Sydney (2002); Berkeley Art Museum, Californie (2004); Tate Modern, Londres (2006); Sackler Gallery, Smithsonian, Washington (2006); Tracy Williams, New York (2006, 2009, 2010 et 2012); Museum of Contemporary Art, Sydney (2008); Jhaveri Contemporary, Mumbai (2009); Centre for Contemporary Photography, Melbourne (2009); Breenspace, Sydney (2009 et 2012); Heide Museum of Modern Art, Melbourne (2010); et AnnaElle Gallery, Stockholm (2012). Elle a cosigné avec Fiona Foley l’exposition Your Place or Mine? à l’Institute of Modern Art de Brisbane. Entre autres expositions collectives, citons la Biennale de Singapour (2006), dOCUMENTA (12) et (13) (2007 et 2012) et la 12e Biennale d’Istanbul (2011). Représentante de l’Australie à la Biennale de Venise en 2013, elle vit maintenant à Sydney et à Port Dickson, en Malaisie.
L’artiste et cinéaste Emily Jacir s’intéresse principalement à la transformation, à la traduction, à la résistance et aux récits historiques étouffés. Son art explore les mouvements d’expression personnels et collectifs dans l’espace public et leurs effets spatiotemporels sur l’expérience physique et sociale en région méditerranéenne, là même où elle habite. Elle est lauréate de plusieurs prix, notamment un Lion d’Or à la 52e Biennale de Venise (2007), le prix Prince-Claus (2007), le prix Hugo-Boss (2008) et le prix Herb-Alpert (2011). Les œuvres d’Emily Jacir ont été exhibées dans de grandes expositions collectives du monde entier, notamment au Museum of Modern Art de New York, au San Francisco Museum of Modern Art (SFMOMA), à la Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, Turin, à la dOCUMENTA (13) (2012), à la Biennale de Venise (2005, 2007, 2009, 2011 et 2013), à la 29e Biennale de São Paulo, Brésil (2010), à la 15e Biennale de Sydney (2006), à la 7e Biennale de Sharjah (2005), à la Biennale Whitney (2004) et à la 8e Biennale d’Istanbul (2003). Elle a récemment exposé en solo à l’Irish Museum of Modern Art de Dublin (2016), à la Whitechapel Gallery de Londres (2015), au Darat il Funun d’Amman (2014-2015), au Beirut Art Center (2010) et au Musée Guggenheim de New York (2009).
Né en 1957 en Guáimaro, à Cuba, et décédé en 1996 à Miami, Felix Gonzalez-Torres a fréquenté l’Université de Porto Rico avant de s’installer à New York en 1979. Il s’est inscrit au programme d’études indépendantes du Whitney Museum une première fois en 1981, puis de nouveau en 1983. Cette même année, il a obtenu son baccalauréat en beaux-arts du Pratt Institute de New York et, en 1987, sa maîtrise en beaux-arts de l’International Center of Photography et de l’Université de New York. En 1997, le Sprengel Museum Hannover, en Allemagne, a monté à titre posthume une exposition itinérante solo et publié un catalogue raisonné de ses créations. D’autres grandes institutions ont accueilli des expositions individuelles de cet artiste: The Art Gallery of South Australia, Adelaïde (1998); The Douglas Hyde Gallery, Dublin (1999- 2000); El Museo Nacional de Artes Visuales, Montevideo, Uruguay (2000-2001); Serpentine Gallery, Londres (2000); Le Consortium, Dijon (2002); et Musée d’art contemporain de la Hamburger Bahnhof, Berlin (2006). En 2007, il a représenté les États-Unis à la 52e Biennale de Venise. En 2010-2011, le centre d’art contemporain WIELS de Bruxelles a mis sur pied une rétrospective itinérante en six volets intitulée Felix Gonzalez-Torres: Specific Objects Without Specific Form, ensuite présentée à la Fondation Beyeler de Bâle et au Museum für Moderne Kunst de Francfort. À chacun de ses déplacements, l’exposition initialement réalisée par Elena Filipovic a été revisitée par un artiste-commissionnaire différent, à savoir Danh Vo, Carol Bove et Tino Sehgal. D’autres institutions ont présenté des expositions consacrées à son art, nommément le PLATEAU et le Leeum, Samsung Museum of Art de Séoul (2012), le Metropolitan Arts Centre de Belfast (2015) et le Rockbund Art Museum de Shanghai (2016).
Né en 1973, l’artiste danois Sergej Jensen vit aujourd’hui à New York. Ses œuvres ont été présentées dans différentes expositions collectives internationales : Decorum, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris (2013); Time Again, Sculpture Center, New York (2011); All of This and Nothing, 6e exposition sur invitation, Hammer Museum, Los Angeles (2011); Annette Kelm, Sergej Jensen, Wolfgang Breuer, Kunst-Werke Berlin (2009); Of Mice and Men, Biennale de Berlin (2006); Momentum – Nordic Festival of Contemporary Art, Moss, Norvège (2006); et Biennale de São Paulo (2004). Parmi ses expositions individuelles, citons Fred Thieler Prize, Berlinische Galerie, Berlin (2013), MoMA PS1, New York (2011); Portikus, Francfort (2010); Aspen Art Museum, Aspen (2010); Malmö Konsthall, Suède (2008); Pinakothek Der Moderne (avec Henrik Olesen), Munich (2008); Schmoll, Bergen Kunsthalle, Norvège (2008); Malmö Konsthall, Suède (2008); Nomadic Bags and Bag Faces, The Douglas Hyde Gallery, Dublin (2007); Kunstverein Bremerhaven, Allemagne (2004); et Kunstverein Braunschweig (avec Stefan Müller), Allemagne (2003).
Né en 1954 à Détroit et décédé en 2012 à Los Angeles, Mike Kelley a obtenu son baccalauréat ès arts de l’Université du Michigan en 1976 et sa maîtrise en beaux-arts du California Institute of the Arts deux ans plus tard. Son œuvre exprime des concepts théoriques des arts, de la philosophie et de la psychologie à coup de supports kitsch, de scénarios juvéniles malaisants et de rendus rudimentaires. Au nombre de ses récentes expositions individuelles, citons: Categorical Imperative et Morgue, Van Abbemuseum, Eindhoven, Pays-Bas (2000); Sod and Sodie Sock (avec Paul McCarthy); Biennale d’art contemporain de Lyon, Institut d’art contemporain (2003); Mike Kelley: The Uncanny, Tate Liverpool (2004, exposition ensuite déplacée au MUMOK de Vienne); Profondeurs vertes, Musée du Louvre, Paris (2006); Day is Done Judson Church Dance, Judson Memorial Church, New York (2009); Themes and Variations from 35 Years, Stedelijk Museum, Amsterdam (2012); Mobile Homestead, Museum of Contemporary Art Detroit (2013) et Centre Pompidou, Paris (2013); et An Homage to Mike Kelley, MoMA PS1, New York (2013) et Museum of Contemporary Art, Los Angeles (2014).
Lee Mingwei est né à Taïwan en 1964 et habite aujourd’hui Paris et New York. Il crée des installations participatives et des expériences interactives qui invitent les visiteurs à explorer les limites de la confiance, de l’intimité et de la conscience de soi en échangeant avec l’artiste et en partageant avec lui des tranches de vie. Ses œuvres sont généralement des projets ouverts multiformes qui évoluent au fil de l’exposition et au gré des participants. Il a obtenu sa maîtrise en beaux-arts de l’Université Yale en 1997 et compte plusieurs expositions individuelles internationales à son actif: Metropolitan Museum of Art, Museum of Modern Art et Whitney Museum of American Art, New York; Museum of Fine Arts, Boston; Los Angeles County Museum of Art; Taipei Fine Arts Museum; Queensland Gallery of Modern Art; Mori Art Museum; et Auckland Art Gallery. C’est sans compter de nombreuses présences aux biennales de Venise, Lyon, Liverpool, Taïpei, Sydney et Whitney et aux Triennales Asie-Pacifique. Il prend actuellement part à l’exposition de la 57e Biennale de Venise signée Christine Martel sous le thème «Viva Arte Viva», en cours jusqu’au 26 novembre 2017.
Gratuit
Centre
Le Centre PHI abrite une installation lumineuse à contenu évolutif, s'adaptant au fil des saisons et des expositions
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Présentée au Vieux-Port, l'expérience immersive L’Horizon de Khéops est une expédition en réalité virtuelle à la découverte de l'Égypte ancienne
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Un rendez-vous mensuel de la performance où l’art prend vie
Centre
Une exposition immersive qui vous encourage à explorer les frontières de l'intelligence artificielle (IA) à travers deux expériences uniques et captivantes
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Fondation
La Fondation PHI pour l’art contemporain est fière de présenter Oma-je, la plus grande exposition en Amérique du Nord de l’artiste française de renom Laure Prouvost
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Fondation
La Fondation PHI est heureuse de présenter Espaces de résonance, un projet d’engagement public de l’artiste My-Van Dam
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Fondation
Notre équipe de coordonnateur·trice·s de l’expérience des visiteur·euse·s offre des visites guidées en français et en anglais de l’exposition Laure Prouvost: Oma-je durant nos heures d’ouverture