
Gratuit
Fondation
Yayoi Kusama: DANCING LIGHTS THAT FLEW UP TO THE UNIVERSE
6 juillet → 15 janvier 2023
Dans le cadre des célébrations de son 15e anniversaire, la Fondation PHI présente une exposition de l’artiste Yayoi Kusama
Entrée gratuite Réservations requises.
Dimanche 2 octobre 2022
De 10h à 11h30
Fondation PHI
465, rue Saint-Jean
Salle éducative (SS01)
Pour réserver des places à cet atelier ou pour plus d’informations, merci de contacter Daniel Fiset au [email protected].
Avant de visiter, veuillez prendre connaissance des informations essentielles sur la visite, y compris les renseignements sur l'accessibilité à la Fondation.
Dans le cadre des Journées de la culture 2022, la Fondation PHI invite les familles à participer à une activité de création co-animée par le collectif doux soft club. Cette activité se déroulera dans l’installation interactive bleu de lieu, et invitera petits et grands à réaliser une série d’exercices de mouvement individuels et collectifs, inspirée par le travail de doux soft club. Ces exercices placent un accent particulier sur les différentes manières d’envisager la sensorialité: la tactilité, les textures, la couleur, les sons, les bruits et leurs effets sur nos corps et nos environnements.
bleu de lieu est un projet d’engagement public conçu par le doux soft club et présenté conjointement avec l’exposition Yayoi Kusama: DANCING LIGHTS THAT FLEW UP TO THE UNIVERSE. Cette installation participative invite le public à se (re)poser, à méditer et à interagir avec les différents éléments placés dans notre salle éducative, plongée pour l’occasion dans la teinte caractéristique des œuvres du collectif. À mi-chemin entre sculptures abstraites et éléments de mobilier, les formes d’accueil de l’installation peuvent être déplacées et utilisées par les visiteur·euse·s, et sont ainsi constamment remaniées par leur présence.
L’événement se déroulera en français.
doux soft club
Le doux soft club est un collectif d’artistes-commissaires rassemblant les pratiques artistiques du duo Pénélope et Chloë, Mariane Stratis et Marion Paquette. Les quatre artistes se sont rencontré·e·s au baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’Université du Québec à Montréal (2012). C’est à travers de nombreux échanges et le désir de voir évoluer leurs pratiques ensemble qu’est né le doux soft club (2017). Animées par un désir de cohésion, elles voient comme essentiel le rapprochement des visions plurielles. Le club est une structure souple qui invite à des collaborations complices pour mieux partager, échanger, s’influencer. Le travail du doux soft club est diffusé au Canada dans le cadre d’expositions individuelles, à la Fondation PHI pour l’art contemporain (Montréal, 2022), la Fonderie Darling (Montréal, 2023), AXENÉO7 (Gatineau, 2019), Verticale (Laval, 2021, 2019), GHAM & DAFE (Montréal, 2018) et d’expositions collectives au Campus de la Cité Internationale Universitaire de Paris (2021), Musée Ambulant (Québec, 2021) Arprim, (Montréal, 2020) et Puce N.5 (Saint-Armand, 2019). Le collectif a été en lice pour la Bourse Plein Sud (Longueuil, 2020) et est récipiendaire d’une bourse de recherche, de création et d’exploration (relève) du Conseil des arts et des lettres du Québec (2020).
Le collectif se déploie selon une esthétique de la douceur qui met de l’avant des thèmes liés à une réhabilitation du sensible par une pratique de l’attention (care), de la bienveillance et de la résilience. Le doux-soft est envisagé par les artistes d’après une capacité d’émerveillement pour le banal. Cette approche intimement liée aux contextes dans lesquels elle s’inscrit, mène à dégager une poésie de l’ordinaire. Les projets sondent, conversent et prennent diverses formes de présentations: intervention en extérieur, œuvre web, livre d’artiste, exposition, performance. En ce sens, le travail performatif permet d’animer les objets sculpturaux dans le but de révéler leurs caractères sensibles et sensoriels. Ces manipulations, documentations et déclinaisons expographiques opèrent certains glissements qui transforment l’expérience du regardeur. En revisitant constamment les potentiels de chaque projet, le club engage une réflexion sur l’aspect polymorphique, vivant et permutable de la production. Au cours du processus une intelligence collective émerge, alimentant les recherches et réalisations: s’inter-influencer, voir la force de l’inspirant pour l’inspiré, copier-coller, se lancer la balle, attraper-relancer.
Pénélope et Chloë forment un duo d’artistes femmes basé à Montréal, travaillant conjointement depuis 2014. Elles détiennent chacune un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2015). Leur pratique se développe à travers des collaborations complices, investissant des espaces publics par l’emploi de divers jeux et installations textiles. Le duo se donne pour mission de réutiliser à la manière d’un cycle coloré leurs œuvres afin de les faire grandir et de les voir se transformer. Laissant une grande place à l’expérimentation et à la spontanéité des rencontres et des actions, elles accordent une attention particulière à l’impact environnemental de leur travail. Elles sont également toutes deux fondatrice de Récré, un laboratoire ludique zéro déchet pour petits et grands. Elles estiment que deux têtes valent mieux qu’une pour survivre sur le terrain quelque peu hostile du monde créatif.
Leur travail a été diffusé lors d’expositions collectives au Canada, notamment à Diagonale (Montréal, 2021), au Centre d’exposition Lethbridge (Montréal, 2020), au Musée des beaux-arts de Montréal (2018) et à l’étranger, à Buenos Aires (Argentine, 2018) à La Ira Del Dios dans le cadre d’une résidence d’artiste et à la foire d’art ArteBA, ainsi qu’à Paris (2015) et à Renens (Suisse, 2015). Pénélope et Chloë s’inscrivent également dans le milieu de la danse. Elles ont conçu la scénographie de 1, 2 maybe 3, Théâtre Centaur (2022) par Jean & Syd, More-than-things, Théâtre La Chapelle (2020) par Emile Pinault, Le Fil des jours (2021) et Danses à venir (2022) aux côtés de la chorégraphe Catherine Lavoie-Marcus portant sur la recherche performative.
Mariane Stratis (Québec, 1990) est une artiste interdisciplinaire qui vit et travaille à Rivière-du-Loup. Son travail porte sur la manière dont les sociétés gèrent, traitent et s’adaptent à la perte des vies humaines. Dans sa pratique, elle interroge les différents cultes reliés à l’événement de la mort en soulevant des interrogations relatives à l’avenir du corps et à sa fragilité. Elle produit des installations qui incluent la sculpture, la photographie, l’archive, le textile et le performatif. Elle est présentement candidate à la maîtrise en sculpture et céramique à l’Université de Concordia (2019-2023) et détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2016).
Depuis plusieurs années, elle participe à des résidences en France, Ateliers Millesfeuilles (Nantes, 2016) et au Canada, EST-NORD-EST (Saint-Jean-Port-Joli, 2021), Sagamie (Alma, 2021). Son travail a été diffusé dans une exposition individuelle, Histoire d’archives molles au Musée du Bas-Saint-Laurent (Rivière-du-Loup, 2021) ainsi que dans des expositions collectives: Géographies tactiles (Montréal, 2022), De l’esprit des lieux (Québec, 2021), Pictura: pleins feux sur la peinture, divers lieux (Montréal, 2020), IGNITION 16, Galerie Léonard & Bina Ellen (Montréal, 2020) ainsi qu’à la Galerie Atelier B (Montréal, 2020), Artch (Montréal, 2019) et Art Mûr (Montréal, 2015).
Marion Paquette (Montréal, 1992) vit à Montréal et détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2015). Sa pratique recourt à la création d’interfaces et de mises en situation qui sondent les relations sensibles entre le corps, l'espace et l'objet. L’expérience de l’inconfort, du fragile et de l’ambiguïté instigue ses recherches sur l'apprivoisement de l'environnement social, naturel et bâti. Cette approche, intimement liée aux contextes dans lesquels s’inscrivent ses interventions, génère des activations performatives et des installations qui amalgament textile, objet, photographie et vidéo. Sa démarche se développe également sous le duo collaboratif demi-mesure (2020), aux côtés de Clara Cousineau. Cette rencontre explore les potentiels de la «condition d’entre-deux», oscillant entre opposition et complémentarité.
Depuis 2016, sa pratique se développe dans le cadre de diverses résidences, au Canada, en France et au Japon. Son travail a été exposé au sein d’expositions collectives en France, au Fol Film Festival (Paris, 2021) et aux Ateliers Millesfeuilles (Nantes, 2016), au Japon, au Studio Kura (Itoshima, 2018) et au Canada, notamment à Dazibao (Montréal 2022), à Espace sensible (Montréal, 2022), au OFFTA (Montréal, 2021), à la Galerie Castiglione (Montréal, 2020), à Espace Transmission (Montréal, 2020), à la Galerie Atelier B (Montréal, 2020), à Artch (Montréal, 2019) et à GHAM & DAFE (Montréal, 2018).
Gratuit
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